24/10/2012
« NANCY : QUAND LA TENTE SE TRANSFORME EN CAMPEMENT DE REFUGIES AU PIED DE L’ACCUEIL D’URGENCE. »
L'ARS (Accueil et Réinsertion Sociale) de Nancy est submergé de demandeurs d'asile depuis la fermeture de l'Accueil de la rue de Stoxey à Metz. Malgré la réouverture du bureau de Metz-Bellecroix, les clandestins continuent d'affluer en plein centre-ville, à deux pas de la place Stanislas. Il n'y a maintenant plus aucune place d'hébergement d'urgence, avec 720 demandeurs hébergés à Nancy, et 1.200 à 1.500 à Metz (dans des hôtels !). "Plus on héberge, plus on crée de la demande", reconnaît le directeur de l'Accueil nancéien, qui conclut avec humour : "l'hiver sera chaud". En raison de l'encombrement des capacités d'hébergement d'urgence, l'hiver ne sera en tous cas pas chaud pour les SDF de chez nous, pour les pauvres parmi les Français, qui bénéficient moins de la solidarité nationale que les étrangers. Besoin de justice dans notre société ? Rejoignez le Front National !
Françoise GROLET,
Conseiller régional de Lorraine.
Source documentaire :
http://www.vosgesmatin.fr/actualite/2012/10/24/campement-au-coeur-de-nancy
20:50 Écrit par Françoise GROLET dans UN ENGAGEMENT LOCAL | Lien permanent | Tags : ars, nancy, demandeurs d'asile, réfugiés, société, clandestins, front national, justice sociale, corruption, trafic d’influence, btp, ville de metz, se constituer, partie civile, non à la dépénalisation, légalisation, du cannabis, député européen, oui la france, umps, françoise grolet, fermeture du p6, législatives, france, lorraine, moselle, metz, centre pompidou-metz, premier part, ouvrier de france, mère de famille, femme, candidate, au service des français, conseil régional, fn, social, wall street journal, angoisse, travailleurs, haut fourneau lorrain, arcelor-mittal, groupe sidérurgie, présidentielle, meeting, de marine le pen, foire expo, augmentation, délinquance | | del.icio.us | | Digg | Facebook | | Imprimer | |
19/10/2012
IL FAUT UNE VOLONTE POLITIQUE POUR SAUVER LA CENTRALE EMILE-HUCHET.
La direction d'E.ON France a confirmé le 11 octobre dernier son plan de fermeture des centrales charbon de St Avold (Moselle), Hornaing (Nord), Lucy (Saône et Loire) et Gardanne (Bouches-du-Rhône).
Seule concession, les suppressions des 535 emplois seront étalées jusqu'en 2015 au lieu de 2013, ce qui n'est qu'un retour partiel à l'accord de fin de conflit de 2010, soit la continuité de la production d'électricité au charbon jusqu'en 2015. Mais l'accord stipulait qu'elle serait ensuite poursuivie avec des cycles combiné gaz, ce qui prouve qu'en investissant dans leur modernisation, ce que n'a jamais fait E.ON, ces centrales ont encore un rôle à jouer dans la production d'énergie en France.
E.ON démontre par ces atermoiements sa volonté de condamner cet outil de production, tout en discréditant l'offre de rachat par Sparkling Capital pour éviter l'émergence d'un concurrent. Le gouvernement doit d'urgence enquêter sur la possibilité de reprise.
Obéissant au diktat de Bruxelles d'ouverture des marchés de l'électricité à la concurrence en 2007, les gouvernements successifs ont abandonné ce service public entre les mains de financiers internationaux qui cherchent leur profit immédiat. L'allemand E.ON, qui a largement profité de la manne des exemptions de taxation sur le CO2 jusqu'en janvier 2013, se débarrasse de ses acquisitions dès lors que le bénéfice n'est plus maximum !
Arnaud Montebourg vient d'affirmer la « souveraineté de la Nation sur les matières premières » et sa volonté de sécuriser notre approvisionnement en matières premières rares : chiche, Monsieur le Ministre ! L'alimentation en énergie diversifiée fait partie des domaines où la France doit conserver sa souveraineté à tout prix. Si aucun repreneur n'est trouvé pour les centrales charbon, l'Etat doit se saisir de ce secteur stratégique.
Le Front National de Moselle exige une attention particulière des pouvoirs publics pour le tissu économique local, déjà sinistré par le millier d'emplois détruits en quelques années à la Cokerie de Carling et chez Total Petrochimical. Plus de 200 sous-traitants sont aussi menacés par la fermeture des tranches à charbon d'Emile Huchet.
Malgré une étude du RTE (l'entreprise publique Réseau de Transport d'Electricité) concluant qu'à partir de 2016, la France va manquer de capacités productives, E.ON persiste à vouloir fermer ces installations pour organiser la pénurie et pouvoir augmenter les tarifs pour les particuliers et les entreprises. Le Front National se bat dans l'intérêt de tous les Français, qui risquent de voir leur facture énergétique exploser dans les années à venir.
Françoise GROLET,
Conseiller régional de Lorraine.
23:59 Écrit par Françoise GROLET dans UN ENGAGEMENT LOCAL | Lien permanent | Tags : corruption, trafic d’influence, btp, ville de metz, se constituer, partie civile, non à la dépénalisation, légalisation, du cannabis, député européen, oui la france, umps, françoise grolet, fermeture du p6, législatives, france, lorraine, moselle, metz, centre pompidou-metz, premier part, ouvrier de france, mère de famille, femme, candidate, au service des français, conseil régional, fn, social, wall street journal, angoisse, travailleurs, haut fourneau lorrain, arcelor-mittal, groupe sidérurgie, présidentielle, meeting, de marine le pen, foire expo, augmentation, délinquance, cambriolages à la hausse, energie, emile huchet, hornaing, lucy, gardanne | | del.icio.us | | Digg | Facebook | | Imprimer | |